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Rolling Stones, ma collection de vinyles 1967-2020 | Monsieur Vinyl
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💎 Rolling Stones, ma collection de vinyles 1967-2020

🎵 Au programme de cette thématique spéciale en deux parties consacrée à l’un des plus grands groupes de Rock au monde : 37 vinyles des Stones, plus de 50 années de carrière explorées, et bien plus encore ! De « Their Satanic Majesties Request » jusqu’à « Living In A Ghost Town » – en n’omettant pas de citer « Hackney Diamonds » à paraître le 20 Octobre prochain – je vous convie à la découverte d’une sélection d’albums, de compilations et de singles des Rolling Stones, tous issus de ma collection personnelle.

Compilations

« Hot Rocks 1964-1971 »
1971 / London / USA / 2PS 606

 

« Hot Rocks » est la compilation idéale pour rentrer dans l’univers sixties et début seventies des Stones. C’est le troisième best of officiel du groupe qui a été publié intialement en Décembre 1971 aux États-Unis.

« Made In The Shade » (SRC Pressing) (Repress de 1977)
1975 / Rolling Stones Records / USA / COC 39107

 

« Made In The Shade » est une compilation d’entre-deux, regroupant quelques morceaux du groupe en provenance du milieu des seventies. On retrouve notamment « Angie », « It’s Only Rock ‘N Roll (But I Like It) » ou encore « Doo Doo Doo Doo Doo (Heartbreaker) ».

« The Rolling Stones » (Réédition de 1978)
1976 / Decca / FRANCE / RS30-001/005

 

En 1976, en France, est publié un coffret renfermant 5 vinyles regroupant de nombreux titres des Stones, la plupart se concentrant sur les sixties et le début des seventies. En 1978, le coffret est réédité sous une version dite ‘tinsel’, reconnaissable à son écriture pailletées sur la couverture. À l’intérieur se trouvait un tee-shirt, taille M.

« Sucking In The Seventies »
1981 / Rolling Stones Records / CANADA / XCOC 16028

 

« Sucking In The Seventies » est le sixième best of des Stones, qui intègre des enregistrements de « It’s Only Rock ‘n Roll (And I Like It) », « Black & Blue », « Some Girls » et « Emotional Rescue ». Les titres de cette compilation bénéficient d’un mixage spécifique. Seuls « Shattered » et « Everything Is Turning To Gold » échappent à ce traitement. On trouve également un live inédit, « When The Whip Comes Down », capté en 1978 à Detroit.

« Rewind (1971-1984) »
1984 / Rolling Stones Records / FRANCE / 2601061

 

Pour celles et ceux qui souhaitent intégrer davantage de morceaux eighties dans l’écoute d’une compilation des Stones, « Rewind (1971-1984) » est pour eux. Elle est publiée en Juillet 1984, un an après l’album « Undercover », et trois ans après la parution de « Sucking In The Seventies ».

« Singles Collection, The London Years »
1989 / ABKCO / FRANCE / 1218-1

 

C’est LE coffret à avoir pour regrouper l’essentiel des singles des Stones parus des deux côtés de l’Atlantique, entre 1963 à 1971. Publié en 1989, quelques mois avant la sortie de « Steel Wheels », il renferme quatre vinyles et pas moins de 58 morceaux du groupe.

“Jump Back (The Best Of The Rolling Stones ’71 – ’93)”
1993 / Virgin / EUROPE / 7243 8 39321 1 5

 

Les Stones viennent de signer chez Virgin. Et pour fêter ça, rien de tel qu’un best of des familles. Voici la première compilation des Stones estampillée Virgin Records. L’édition vinyle a été publiée internationalement à sa sortie, mais n’a jamais été rééditée à date. Un an après sera publié l’excellent « Voodoo Lounge ».

« Forty Licks »
2002 / Polydor / EUROPE / 602455771384

 

2002 est l’année où le groupe souffle sa quarantième bougie. L’occasion de publier 40 léchouilles des Stones (dont 4 inédits), avec « Forty Licks », la compilation la plus intéressante parmi toutes celles publiées depuis des décennies. Il faudra attendre 21 ans pour voir apparaître enfin une édition vinyle, dont le tracklisting s’étend sur 4 vinyles. En 2002, côté CD, on retrouve une édition coffret renfermant un livret de 32 pages et un magnifique poster.

Albums

« Their Satanic Majesties Request” (PRC Compton Pressing) (Réédition de 1976)
1967 / London / USA / NPS-2

 

L’album le plus ‘psychédélique’ des Stones, c’est lui. Conceptuellement, le groupe sort de sa zone de confort et tente de se rapprocher du « Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band » des Beatles, paru 7 mois avant lui. La pochette se pare d’un photographie lenticulaire signée par Michael Cooper, qui n’est autre que le même photographe que « Sgt. Pepper’s (…) ».

« Beggars Banquet » (Terre Haute Pressing) (Réédition de 1969)
1968 / London / USA / PS 539

 

« Beggars Banquet » est l’un des premiers albums importants d’une série de quatre qui marqueront au fer rouge la carrière des Stones. Débarqué en 1968, la pochette choisie demeure un problème pour les labels Decca (en Angleterre) et London (aux Etats-Unis) qui les signent : l’album est effectivement retardé de 5 mois à cause d’une histoire de… cuvette photographiée dans les toilettes d’un concessionnaire Porsche situé à Los Angeles. La pochette finira par être blanche, s’inspirant d’une carton d’invitation de luxe. Le titre « Jumpin Jack Flash » est enregistré à la même période en guise de promotion de l’album, mais ne figurera pas sur sa tracklist.

« Let It Bleed »
1969 / Decca / FRANCE / SKL 5 025

 

Deuxième temps fort dans la carrière des Stones, « Let It Bleed » est l’ultime album du groupe signé chez Decca. C’est un album très ‘space’, teinté de blues et de country, et très éloigné de ce que deviendra la future signature sonore des Stones. C’est aussi l’album relatif à la mort de Brian Jones, décédé à 27 ans à cette période, et remplacé au pied levé par le guitariste Mick Taylor. Le support vinyle de « Let It Bleed » contenait un poster représentant les différents membres du groupe.

« Sticky Fingers »
1971 / Rolling Stone Records / FRANCE / COC 59100

 

Qui ne se souvient pas de « Sticky Fingers », tant dans sa tracklist que dans sa pochette signée Andy Warhol ? L’album à la fermeture éclair coïncide avec l’arrivée de l’emblème des Stones : la bouche rouge qui tire la langue, initialement dessinée par John Pasche (avant d’être redesignée par Craig Braun), et qui fait pour la première fois son apparition. Plusieurs formes et couleurs de fermetures éclairs existent en fonction des pays.

« Exile On Main St. » (Réédition de 1979)
1972 / EMI / FRANCE / 2C 168 63 077/8

 

« Exile On Main Street » est une parenthèse française pour le groupe. Un enregistrement complexe qui a lieu dans le sous-sol de la villa Nellcote louée par Richards pour l’occasion, et située non loin de Nice. L’héroïne commence à être présente quotidiennement dans la vie de Keith, ce qui l’empêche d’être présent lors des sessions d’enregistrements. L’album sera finalement terminé à Los Angeles. Les premiers pressages vinyles de « Exile (…) » comportent une planche perforée de 12 photographies imprimées sur cartes postales.

« Some Girls »
1978 / Rolling Stones Records / ANGLETERRE / CUN 39108

 

C’est l’album qui accueille Ron Wood dans l’histoire des Stones. Bassiste en provenance directe des Faces, le musicien est déjà dans le sillage du groupe depuis 1974. Une amitié avec Keith, avec qui il partage la scène durant l’année 1974, va finalement l’amener à s’intégrer parmi les autres membres pour la tournée 1975/1976. Historiquement, « Some Girls » rencontre plusieurs problèmes avec son artwork. Plusieurs célébrités, n’ayant pas donné d’accord pour l’utilisation de leur propre image ou celles de leurs descendants, vont intenter des actions en justice.

« Tattoo You »
1981 / Rolling Stones Records / ALLEMAGNE / 1C 064-64 533

 

« Tattoo You » est un album-prétexte. Nous sommes en 1980, et une tournée des stades est prévue aux États-Unis l’année suivante. Pour ce faire, le groupe a besoin d’un support musical à vendre, mais Richards et Jagger ne sont pas en mesure d’écrire et peaufiner un album en si peu de temps. Alors on va chercher des anciens morceaux enregistrés durant les sessions de « Some Girls », « Goats Head Soup », « Black and Blue » et « Emotional Rescue. Puis, Jagger vient compléter les paroles et les parties vocales manquantes.

« Undercover »
1983 / Promotone / FRANCE / 1654361

 

C’est publiquement un accueil très mitigé pour cet album qui arrive en pleine ère eigthies, alors que Richards et Jagger sont en dissonance artistique. L’un souhaite poursuivre sur la voie du Rock, tandis que l’autre est plus sensible à la Disco et aux sonorités alors plus en vogue. La résultante est un album sans grande personnalité, inégal, et intégrant dans sa tracklist les morceaux « She Was Hot » ou encore « Undercover Of The Night ».

« Dirty Work »
1986 / Rolling Stones Records / PAYS-BAS / CBS 86321

 

Les années 80 sont décidemment difficiles pour les Stones. Après le très faible « Undercover », le groupe réitère en 1986 avec « Dirty Work », co-produit aux côtés de Steve Lillywhite (Ultravox, Peter Gabriel, U2). L’entente entre Richards et Jagger n’est toujours pas au beau fixe. De plus, Jagger annonce vouloir voguer de ses propres ailes. Son premier album solo, « She’s The Boss », débarque dans les bacs en Février 1985, soit un an avant  « Dirty Work ». En 1985, alors que le ‘Live Aid’ bat son plein, la troupe est éclatée. Jagger chante de son côté avec David Bowie, tandis que Richards et Wood accompagnent Bob Dylan. « Dirty Work » contient une participation de Jimmy Page sur le morceau « One Hit (To The Body) ».

« Steel Wheels »
1989 / Rolling Stones Records / PAYS-BAS / 465752 1

 

« Steel Wheels » est l’album du renouveau, mais aussi des retrouvailles. Il faut dire que depuis « Dirty Work », Keith Richards a emboîté le pas à Jagger en se lançant à son tour en solo. Pour ce nouvel album studio, le dix-neuvième de sa carrière, le groupe enregistre à l’endroit même où Dire Straits accouchera de « Brothers In Arms », et rappelle le producteur de « Tattoo You » et « Undercover ». C’est aussi le tout premier album de la troupe à Jagger à être entièrement enregistré en digital. Les Stones retournent enfin en tournée, et retrouvent la saveur des beaux jours. Les Stones n’ont jamais aussi bien sonné.

« Voodoo Lounge »
1994 / Virgin / EUROPE / 7243 8 39782 1 2

 

Après « Steel Wheels », le groupe signe avec une nouvelle maison de disques : Virgin Records. Mais le bassiste Bill Wyman, présent depuis les débuts du groupe en 1962, décide de ne pas signer ce contrat. Il officialise son départ en 1993, et sera remplacé par Darryl Jones. Entretemps, Jagger et Richards ont eu le temps de repartir dans leur carrière solo respectives. Puis, entre Janvier et Avril 1994, les Stones sont de retour en studio à Los Angeles pour enregistrer ce qui deviendra « Voodoo Lounge ». Après sa sortie, l’opus remporte un Grammy Awards du ‘Meilleur Album de Rock’. Retour réussi.

« Bridges To Babylon »
1997 / Virgin / EUROPE / 7243 8 44712 1 7

 

La signature chez Virgin sourit au groupe. Voici l’album qui m’apparaît comme l’un des meilleurs des Stones : « Bridges To Babylon ». Même si des tensions sont toujours vivaces durant les sessions d’enregistrement, cela n’altère heureusement pas la tournée prévue. Pour cette nouvelle aventure en studio, le groupe souhaite sonner ‘à la mode’, et fait ainsi appel à une pléthore de producteurs pour l’entourer. « Bridges To Babylon » est, à date, le seul opus des Stones à contenir des samples. À l’intérieur, on trouve la très country « Always Suffering » et, bien sûr, « Anybody Seen My Baby ? » qui tournera comme jamais sur la FM à la fin des nineties.

« A Bigger Bang »
2005 / Virgin / EUROPE / 00946 3300671 3

 

Nouvel album catalogué chez Virgin pour les Stones avec « A Bigger Bang » qui débarque dans les bacs en 2005. Pas moins de huit années le séparent de « Bridges To Babylon ». C’est dire si le retour du groupe en studio était très attendu. Après la tournée « Forty Licks », qui fêtait en grande pompe leurs quarante années d’existence, la troupe à Jagger n’est pas à son top niveau. Entre un cancer de la gorge diagnostiqué à Charlie Watts et l’absence de Ron Wood due à une cure de désintoxication, Jagger et Richards doivent s’adapter. « A Bigger Bang » sera enregistré en France, dans le Château de Fouchette, dont Jagger est le propriétaire depuis 1980, et sera finalisé à Los Angeles.

« Blue And Lonesome »
2016 / Polydor / EUROPE / 571 494-4

 

Dans leur carrière, jamais les Stones n’avaient accouché d’un album rendant intégralement hommage à un genre musical qui à la fois les réunit et les inspire : le Blues. En 2016, ils réparent enfin cet impair artistique avec « Blue And Lonesome », un opus entièrement composé de reprises de morceaux Blues de Chicago. Entre deux tournées, seulement trois jours suffiront au groupe pour le mettre en boîte. En 2018, « Blue And Lonesome » sera comme il se doit recompensé d’un Grammy Awards en tant que ‘Meilleur Album de Blues Traditionnel’.

« Hackney Diamonds »
2023 / Polydor / EUROPE / (à venir)

 

« Hackney Diamonds » signe le grand retour des Stones aux compositions originales, après huit ans d’absence sur ce terrain. Je vous invite à vous renseigner sur toutes les éditions vinyles à paraître le 20 Octobre prochain ICI.

Lives

« Flashpoint »
1991 / Rolling Stones Records / PAYS-BAS / 468135 1

 

« Flashpoint » est le témoignage sonore de la tournée qui fait suite à l’album « Steel Wheels ». La plupart des titres ont été captés entre Novembre 1989 et Juillet 1990 dans plusieurs villes différentes, de Tokyo à Barcelone, en passant par les Etats-Unis ou encore Londres . Ce disque intègre également deux nouveaux enregistrements studios, à savoir « Hardwire » et « Sex Drive ». L’édition vinyle contient un livret de 12 pages.

« Voodoo Lounge Uncut » (Limited Collector’s Edition)
2018 / Rolling Stones Records / EUROPE / EAGLP692

 

Ce disque propose l’enregistrement intégral du LIVE donné par les Stones au Joe Robbie Stadium le 25 Novembre 1994 dans le cadre de leur tournée ‘Voodoo Lounge Tour’. Deux éditions vinyles ont été proposées : l’une en tripe vinyle noir, et l’autre en triple vinyle rouge.

« Stripped » (DFI Pressing)
1995 / Virgin / EUROPE / 7243 8 41040 1 6

 

« Stripped » regroupe six enregistrements LIVE captés en 1995 à l’Olympia à Paris, ainsi qu’au Paradiso à Amsterdam, juste après la tournée « Voodoo Lounge ». Le disque regroupe également huit morceaux enregistrés en studio à Tokyo et à Lisbonne. Cela fait de « Stripped » un disque hybride dans la discographie des Stones. On peut notamment y entendre la reprise de « Like A Rolling Stone », originellement interprétée par Bob Dylan en 1965.

« Totally Stripped »
2016 / Rolling Stones Records / EUROPE / ERDVLP090

 

Publié en 2016, « Totally Stripped » est une édition augmentée et repensée de « Stripped ». Cette édition intègre un DVD contenant le documentaire réalisé en 1995 – dont 30 minutes d’images inédites ont été ajoutées. Ce dernier suit le groupe en studio sur Tokyo, Lisbonne et Londres, ainsi que sur la route des concerts donnés à cette époque. Des répétitions aux interviews, il révèle l’envers du décor. Côté vinyles, on retrouve l’enregistrement des concerts présents sur « Stripped », mais ils ne contiennent pas le même tracklisting.

« Bridges To Bremen » (Bronze Colored Vinyl)
2019 / Rolling Stones Records / USA / ER204221

 

« Bridges To Bremen » propose l’enregistrement intégral du concert donné dans la ville de Brême, en Allemagne, le 2 septembre 1998, durant la tournée ‘Bridges To Babylon Tour’. Pour ce concert, la scène se trouvait au centre du public. Je vous conseille notamment de vous procurer la version DVD/Blu-Ray de ce concert. Côté vinyle, il existe une édition en double disques noirs, et une édition en double disques bronzes.

« No Security » (Repress)
1998 / Virgin / EUROPE / 7243 8 46740 1 4

 

« No Security » renferme des captations LIVE des concerts donnés à Amsterdam, Buenos Aires, Nuremberg, ou encore Saint Louis, durant la tournée ‘Bridges To Babylon’. La pochette est une simple photographie captée le 11 Juillet 1998 lors de la venue des Stones en Autriche, plus précisément à Wiener Neustadt. On y voit deux personnes : une fille de 24 ans, tatoueuse pierceuse autrichienne, fan des Stones – qui répond au nom de Birgit Lötsch – ainsi qu’un homme, Wolfgang Dusek, docteur en optométrie, et accessoirement gardien de la sécurité le soir du concert.

Singles

« Miss You »
1978 / Rolling Stones Records / ANGLETERRE / 12 EMI 2802

« Brown Sugar »
1984 / Rolling Stones Records / ANGLETERRE / SUGAR P1

« She Was Hot » (Misprint)
1984 / Rolling Stones Records / ANGLETERRE / RSRP 114

« Harlem Shuffle »
1986 / Rolling Stones Records / PAYS-BAS / CBSA 12.6864

« Steel Wheels Live » (Record Store Day 2020 Exclusive)
2020 / Rolling Stones Records / EUROPE / 0872829

« Anybody Seen My Baby ? »
1997 / Virgin / ANGLETERRE / 7243 8 94596 7 8

« Streets Of Love »
2005 / Virgin / EUROPE / 0094633881570

« Ride ‘Em On Down »
2016 / Polydor / EUROPE / 571 775-2

« Living In A Ghost Town » (Web Store Exclusive)
2020 / Rolling Stones Records / EUROPE / 00602507148331